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Mémoire

RASSERIE Jean (1er juin 1920 – 15 août 1944)

RASSERIE Jean, Roger, Joseph – né le 1er juin 1920 à Arles (Bouches-du-Rhône) – Mort sous le bombardement le 15 août 1944 à Arles Employé au service du Matériel aux Ateliers d’Arles SNCF Sud-Est, Jean Rasserie trouve la mort lors du bombardement de la ville d’Arles, en août 1944, alors que la Libération approche. Son […]

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RASSERIE Jean, Roger, Joseph – né le 1er juin 1920 à Arles (Bouches-du-Rhône) – Mort sous le bombardement le 15 août 1944 à Arles
Employé au service du Matériel aux Ateliers d’Arles SNCF Sud-Est, Jean Rasserie trouve la mort lors du bombardement de la ville d’Arles, en août 1944, alors que la Libération approche.
Son nom figure sur la plaque commémorative des Ateliers d’Arles (aujourd’hui déplacée à la gare d’Arles) sous l’inscription « victimes des bombardements », aux côtés de Joseph Souveton, Marcel Teyssier et Léopold Trinquier. À Marseille, il est également gravé sur la colonne octogonale dédiée aux 446 agents SNCF des 8e arrondissements « morts pour la France », érigée dans le square de la gare Saint-Charles.
Il meurt à 24 ans.
Mémoire

RAMBERT Etienne (27 août 1899 – 30 août 1918)

RAMBERT Étienne, Virgile – né le 27 août 1899 à Jonquières-et-Saint-Vincent (Gard) – Mort des suites de maladie contractée en service le 30 août 1918 à Saint-Mandrier (Var) Tourneur au service du Matériel, aux Ateliers d’Arles du P.L.M., Étienne Rambert est mobilisé dans la Marine nationale comme matelot mécanicien à bord de l’Enseigne Henry. Il […]

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RAMBERT Étienne, Virgile – né le 27 août 1899 à Jonquières-et-Saint-Vincent (Gard) – Mort des suites de maladie contractée en service le 30 août 1918 à Saint-Mandrier (Var)
Tourneur au service du Matériel, aux Ateliers d’Arles du P.L.M., Étienne Rambert est mobilisé dans la Marine nationale comme matelot mécanicien à bord de l’Enseigne Henry. Il contracte la grippe en service et succombe à ses suites à l’hôpital maritime de Saint-Mandrier.
Il meurt à 19 ans et reçoit la mention « Mort pour la France ».
Mémoire

PINAUD Adrien (14 août 1894 – 11 octobre 1918)

PINAUD Adrien, Paul – né le 14 août 1894 à Nîmes (Gard) – Mort des suites de maladie contractée en service le 11 octobre 1918 à Vitry-le-François (Marne) Ajusteur mécanicien au service du Matériel, aux Ateliers d’Arles du P.L.M., Adrien Pinaud est incorporé le 5 septembre 1914 au 163e Régiment d’infanterie. Il est nommé caporal […]

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PINAUD Adrien, Paul – né le 14 août 1894 à Nîmes (Gard) – Mort des suites de maladie contractée en service le 11 octobre 1918 à Vitry-le-François (Marne)
Ajusteur mécanicien au service du Matériel, aux Ateliers d’Arles du P.L.M., Adrien Pinaud est incorporé le 5 septembre 1914 au 163e Régiment d’infanterie. Il est nommé caporal le 10 avril 1915, puis sergent le 15 octobre 1918. Engagé sur le front de la Marne, il est cité à l’ordre du régiment le 9 juillet 1918 (citation n°394) pour son courage et son dévouement.
Il meurt à 24 ans des suites d’une broncho-pneumonie grippale contractée en service, à l’hôpital 55 S.P. 103. Il reçoit la Croix de guerre avec étoile de bronze et la mention « Mort pour la France ».
Mémoire

PIN Claude (9 septembre 1904 – 11 janvier 1945)

PIN Claude Né le 9 septembre 1904 à Arles (Bouches-du-Rhône) – Mort en déportation le 11 janvier 1945 à Gusen (Autriche). Claude (Étienne, Marius) Pin est le fils d’Anne Turcat et de Jean Pin. Libéré du service militaire le 10 novembre 1925, il entre au chemin de fer le 22 février 1926 et est affilié […]

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PIN Claude
Né le 9 septembre 1904 à Arles (Bouches-du-Rhône) – Mort en déportation le 11 janvier 1945 à Gusen (Autriche).
Claude (Étienne, Marius) Pin est le fils d’Anne Turcat et de Jean Pin. Libéré du service militaire le 10 novembre 1925, il entre au chemin de fer le 22 février 1926 et est affilié à la caisse de retraite le 1er mars 1927. Il se marie le 6 octobre 1934 avec Émilienne Leperck, à Arles. Au début de la Seconde Guerre mondiale, le couple habite dans cette ville chemin de la Fortune. Mobilisé de mai à juillet 1940, Claude Pin reprend ensuite son travail d’ouvrier ajusteur aux ateliers SNCF de cette localité.
Les ateliers ferroviaires SNCF d’Arles, ex-PLM, créés au XIXe siècle, ont vu leurs effectifs diminuer fortement dans les années 1930. Ils emploient toujours en 1940 plusieurs centaines
d’ouvriers (près de 600). Le parti communiste s’y reconstitue rapidement. Le 6 juin 1941, la 9e brigade mobile de Marseille arrête Claude Pin et sept autres cheminots des ateliers d’Arles
(Louis Deguilhem*, Fernand Fournier*, Charles Gardiol, Joseph Peloux, Adolphe Piche, Charles Raymond, Pierre Souchon*) pour menées antinationales et distribution de tracts
communistes. Comme ses camarades, Claude Pin est jugé, en juillet 1941, par le tribunal correctionnel de Tarascon, puis traduit devant le tribunal militaire de la XVe région à Marseille.
Le 6 septembre 1941, celui-ci condamne les inculpés à des peines qui s’échelonnent de vingt ans de travaux forcés à cinq ans de prison, accompagnées d’amendes, de dégradations civiques et d’interdictions de séjour. Immédiatement révoqués de la SNCF, les huit cheminots sont incarcérés à Toulon (Var) – c’est le cas de Claude Pin – ou à la centrale de Nîmes (Gard). Sept d’entre eux, dont Claude Pin, sont transférés à la centrale d’Eysses, à Villeneuve-sur-Lot (Lot-et-Garonne). Ils participent, dans cette prison, à l’organisation communiste clandestine et, le 19 février 1944, à une tentative d’évasion collective qui échoue. La répression est féroce. Cinquante détenus sont pris comme otages et 12 d’entre eux sont fusillés le 23 février 1944, après condamnation par une cour martiale de la Milice. Le 30 mai 1944, plus de 1 100 détenus d’Eysses sont livrés aux Allemands et transférés à Compiègne (Oise). Le 18 juin
1944, un transport de plus de 2 100 hommes est organisé à partir de Compiègne pour le camp de Dachau, composé pour moitié des anciens détenus d’Eysses. Parmi eux, Claude Pin et quatre des huit cheminots arlésiens. Le convoi arrive à Dachau le 20 juin 1944, en fin d’après-midi. Claude Pin, immatriculé 73881, est transféré le 18 août 1944 au camp de Mauthausen (Autriche) et affecté, le 13 décembre, au Kommando de Gusen. Il y meurt le 11 janvier 1945. Il a été reconnu « Mort pour la France ». Son nom figure sur la plaque commémorative des ateliers d’Arles (déplacée à la gare), avec ceux de Louis Deguilhem*, Fernand Fournier* et Pierre Souchon*. À Marseille, il est aussi gravé sur la colonne octogonale dédiée aux 446 agents SNCF « des 8e arrondissements morts pour la France », érigée dans le square de la gare Saint-Charles.
Robert Mencherini
Sources : SNCF, CXXIV.2 118 LM 108/1 ; SNCF, CXXX.5 118 LM 120/6 ; SNCF, 025 LM 259/2 ; SNCF, dossier Béziers ; SHD DAVCC, 21 P 525875 ; RM ; CGC ; FMD ; N. Koukas, « La Résistance à Arles, 1940-1944 », mémoire de maîtrise d’histoire, 1997 ; Amicale des anciens d’Eysses, Eysses contre Vichy, 1940-…, 1992 ; R. Mencherini, Cheminots en Provence. Les années de guerre,
Mémoire

PELLET Louis (4 février 1894 – 25 septembre 1915)

PELLET Louis, David – né le 4 février 1894 à Arles (Bouches-du-Rhône) – Tué à l’ennemi le 25 septembre 1915 à Perthes-lès-Hurlus (Marne) Ajusteur au service du Matériel, aux Ateliers d’Arles du P.L.M., Louis Pellet est mobilisé le 17 décembre 1914 et incorporé au 163e Régiment d’infanterie avant d’être affecté au 415e Régiment d’infanterie. Engagé […]

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PELLET Louis, David – né le 4 février 1894 à Arles (Bouches-du-Rhône) – Tué à l’ennemi le 25 septembre 1915 à Perthes-lès-Hurlus (Marne)
Ajusteur au service du Matériel, aux Ateliers d’Arles du P.L.M., Louis Pellet est mobilisé le 17 décembre 1914 et incorporé au 163e Régiment d’infanterie avant d’être affecté au 415e Régiment d’infanterie. Engagé sur le front de Champagne, il est tué à l’ennemi le 25 septembre 1915 lors des combats à Perthes-lès-Hurlus.
Frère d’Édouard Edmond Pellet, également « Mort pour la France » en 1916, il meurt à 21 ans.
Mémoire

JUILLARD Jean (17 avril 1892 – 27 avril 1915)

JULLIARD Jean, François – né le 17 avril 1892 à Nîmes (Gard) – Disparu en mer le 27 avril 1915 lors du naufrage du croiseur-cuirassé Léon Gambetta Ajusteur mécanicien au service du Matériel, aux Ateliers d’Arles du P.L.M., Jean Julliard est incorporé dans la Marine nationale le 9 octobre 1913 comme matelot de 3e classe […]

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JULLIARD Jean, François – né le 17 avril 1892 à Nîmes (Gard) – Disparu en mer le 27 avril 1915 lors du naufrage du croiseur-cuirassé Léon Gambetta
Ajusteur mécanicien au service du Matériel, aux Ateliers d’Arles du P.L.M., Jean Julliard est incorporé dans la Marine nationale le 9 octobre 1913 comme matelot de 3e classe sans spécialité (matricule 55300-5). Affecté au 5e dépôt des équipages de la flotte, il embarque sur le croiseur-cuirassé Léon Gambetta.
Porté disparu lors du naufrage, Jean Julliard reçoit à titre posthume la Médaille militaire et la Croix de guerre avec étoile de bronze.
Il meurt à 23 ans. Il reçoit la mention « Mort pour la France ».
Non classé

GUISE Virgile (1922 – 3 décembre 1944)

GUISE Virgile – né vers 1922 – Décédé le 3 décembre 1944 à Vienne (Autriche) Ajusteur mécanicien au service du Matériel, aux Ateliers d’Arles SNCF Sud-Est, Virgile Guise est requis au titre du Service du travail obligatoire (S.T.O.) et envoyé en Allemagne. Il y meurt le 3 décembre 1944, en territoire autrichien. Âgé de 22 […]

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GUISE Virgile – né vers 1922 – Décédé le 3 décembre 1944 à Vienne (Autriche)
Ajusteur mécanicien au service du Matériel, aux Ateliers d’Arles SNCF Sud-Est, Virgile Guise est requis au titre du Service du travail obligatoire (S.T.O.) et envoyé en Allemagne. Il y meurt le 3 décembre 1944, en territoire autrichien.
Âgé de 22 ans, il est reconnu comme victime civile de la guerre.
Non classé

GREGOIRE Isidore (14 mai 1889 – 15 mai 1915)

GRÉGOIRE Isidore, Marie – né le 14 mai 1889 à Arles (Bouches-du-Rhône) – Disparu au combat le 15 mai 1915 à Ville-sur-Tourbe (Marne) Ajusteur au service du Matériel, aux Ateliers d’Arles du P.L.M., Isidore Grégoire est mobilisé au 7e Régiment d’infanterie coloniale, où il est promu sergent. Il meurt le 15 mai 1915 à Ville-sur-Tourbe, […]

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GRÉGOIRE Isidore, Marie – né le 14 mai 1889 à Arles (Bouches-du-Rhône) – Disparu au combat le 15 mai 1915 à Ville-sur-Tourbe (Marne)
Ajusteur au service du Matériel, aux Ateliers d’Arles du P.L.M., Isidore Grégoire est mobilisé au 7e Régiment d’infanterie coloniale, où il est promu sergent. Il meurt le 15 mai 1915 à Ville-sur-Tourbe, à l’âge de 26 ans.
Il reçoit la mention « Mort pour la France ».
Mémoire

FOURNIER Fernand (24 mai 1903 – 25 janvier 1944)

FOURNIER Fernand Né le 24 mai 1903 à Arles (Bouches-du-Rhône) – Mort en détention le 25 janvier 1944 à Toulon (Var). Fernand (Marcellin, Laurent) Fournier est le fils de Denise Roubaud et de son époux, Marius Fournier, employé aux chemins de fer des Bouches-du-Rhône. Il se marie très jeune à Arles, le 7 octobre 1922, […]

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FOURNIER Fernand Né le 24 mai 1903 à Arles (Bouches-du-Rhône) – Mort en détention le 25 janvier 1944 à Toulon (Var).
Fernand (Marcellin, Laurent) Fournier est le fils de Denise Roubaud et de son époux, Marius Fournier, employé aux chemins de fer des Bouches-du-Rhône. Il se marie très jeune à Arles, le 7 octobre 1922, avec Françoise Coustellier dont il aura deux enfants. D’abord maçon, au moment de son mariage, dégagé de ses obligations militaires le 7 novembre 1924, il est embauché au PLM le 27 novembre 1929, comme aide-ouvrier auxiliaire, aux ateliers ferroviaires d’Arles. Les ateliers PLM d’Arles, qui comptent des centaines d’ouvriers, sont un foyer syndicaliste et communiste important.
Fernand Fournier y milite activement à la CGTU et au parti communiste, et, après la réunification syndicale de 1936, à la CGT. Il devient responsable de la Fédération sportive et gymnique du travail en fort développement, où il s’occupe, en particulier, du club de football. Sous Vichy, le parti communiste se reconstitue au sein des ateliers et diffuse ses publications clandestines, ce qui inquiète particulièrement le sous-préfet et attire l’attention de la police. Le 6 juin 1941, la 9e brigade mobile de Marseille arrête Fernand Fournier et sept autres cheminots des ateliers d’Arles (Louis Deguilhem*, Charles Gardiol, Joseph Peloux, Adolphe Piche, Claude Pin*, Charles Raymond, Pierre Souchon*) pour menées antinationales et distribution de tracts communistes. Comme ses camarades, Fernand Fournier est jugé, en juillet 1941, par le tribunal correctionnel de Tarascon, puis traduit devant le tribunal militaire de la XVe région à Marseille. Le 6 septembre 1941, celui-ci condamne les inculpés à des peines qui s’échelonnent de vingt ans de travaux forcés (ce qui est le cas pour Fernand Fournier) à cinq ans de prison, accompagnées d’amendes, de dégradation civique et d’interdictions de séjour. Les huit cheminots, révoqués de la SNCF, sont incarcérés à la centrale de Nîmes (Gard) ou, comme Fernand Fournier, à la prison Saint-Roch de Toulon (Var). Celui-ci y demeure, cellule 37, alors que ses camarades sont transférés à la centrale d’Eysses, à Villeneuve-sur-Lot (Lot-et-Garonne). Très malade, il meurt le 25 janvier 1944 à l’hôpital civil de Toulon. Selon le commissaire central d’Arles, pour ses obsèques qui ont lieu à Arles, plus de 1 800 personnes se rassemblent devant les ateliers SNCF où le corps venant de Toulon est placé sur un corbillard. La cérémonie dure une heure, et une collecte organisée sur place rapporte une somme élevée. Sans qu’aucun discours ne soit prononcé, il s’agit d’une véritable manifestation d’opposition à Vichy et aux occupants. Le journal communiste clandestin régional du PCF, Rouge-Midi, daté de mars 1944, diffusé le 18, évoque ces obsèques (avec 4 000 personnes et des délégations venues de la proche région) dans un tiers de colonne sous le titre « Vengeons nos morts ». Fernand Fournier a été reconnu « Mort pour la France ». Son nom figure sur la plaque commémorative des ateliers d’Arles (déplacée à la gare de la ville) avec Louis Deguilhem, Claude Pin, Pierre Souchon. Il a été donné au stade de la ville (avenue du XVe-Corps, aujourd’hui avenue du Docteur-Imbert). À Marseille, son nom est gravé sur la colonne octogonale dédiée aux 446 agents SNCF « des 8e arrondissements morts pour la France », érigée dans le square de la gare Saint-Charles.
Robert Mencherini
Sources : SNCF, CXXV.5 118 LM 120/6 ; SNCF, 025 LM 259/2 ; SNCF, dossier Béziers ; Actes de naissance et de décès ; AD Bouches-du-Rhône, 97 W 19 (rapport du commissaire central au sous-préfet d’Arles, 31 janv. 1944) ; RM ; CGC ; DBMOF ; Rouge-Midi (1er mars 1944) ;
Association des amis du musée de la Résistance et de la Déportation d’Arles et du pays d’Arles, Résister en pays d’Arles, 2014 ;
N. Koukas, « La Résistance à Arles, 1940-1944 » : mémoire de maîtrise d’histoire, 1997 ;
R. Mencherini, Cheminots en Provence. Les années de guerre, 2012 ;
A. Mouton, Notes d’un vétéran sur les 60 ans du Parti communiste français, 1981.
Mémoire

DUMAS Marius (16 novembre 1981 – 20 décembre 1914)

DUMAS Marius, Jacques, Pierre, Laurent – né le 16 novembre 1891 à Arles (Bouches-du-Rhône) – Tué à l’ennemi le 20 décembre 1914 à Béthincourt (Meuse) Tourneur au service du Matériel du P.L.M., Marius Dumas est incorporé le 8 octobre 1912 au 19e Régiment d’artillerie de campagne. Canonnier, il est engagé sur le front de l’Est. […]

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DUMAS Marius, Jacques, Pierre, Laurent – né le 16 novembre 1891 à Arles (Bouches-du-Rhône) – Tué à l’ennemi le 20 décembre 1914 à Béthincourt (Meuse)
Tourneur au service du Matériel du P.L.M., Marius Dumas est incorporé le 8 octobre 1912 au 19e Régiment d’artillerie de campagne. Canonnier, il est engagé sur le front de l’Est. Le 20 décembre 1914, il est tué à l’ennemi à Béthincourt, à l’âge de 23 ans.
Il reçoit la mention « Mort pour la France ».