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Gares et réseau ferré

Changez de perspective en regardant d’un œil neuf votre patrimoine du quotidien

Parcourez les gares et les réseaux ferroviaires et découvrez les trésors du patrimoine de la SNCF : postes d’aiguillage, ouvrages d’art, vitraux, fresques…

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Les sept réseaux illustrés

A l’occasion des Journées européennes du patrimoine (JEP) 2024, découvrez le patrimoine des itinéraires, des réseaux, des connexions et les histoires culturelles qui les relient. Le Centre National des Archives du Personnel SNCF de Béziers vous invite à découvrir les sept réseaux de chemin de fer historiques à travers des chapitres illustrés riches en informations et en images !

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Quand l'architecture entre en gares !

A l’occasion des Journées européennes du Patrimoine placées cette année sous le thème « Patrimoine des itinéraires,  des réseaux et des connexions », le Conseil d’Architecture, d’Urbanisme et de l’Environnement, en partenariat avec la SNCF, lance ce vendredi 20 septembre 2024 une nouvelle promenade urbaine sur son application gratuite « Détour, Paris en promenade ». Cette promenade met à l’honneur le patrimoine parisien d’un quartier modelé par le réseau ferré, entre Gare du Nord et Gare de l’Est.

© V. Guiné - CAUE de Paris

La gare de Bordeaux-Saint-Jean : la gare du Midi

On la surnommait la gare du Midi. La gare de Bordeaux Saint-Jean renferme un magnifique patrimoine : la plus vaste verrière ferroviaire métallique d’Europe, une fresque récemment restaurée représentant les réseaux de la Compagnie du Midi, ou encore la « passerelle Eiffel » et son histoire mouvementée. Pour en savoir plus, lisez notre article et découvrez ici notre série de vidéos sur la restauration minutieuse de la carte murale de la gare !

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Un nouveau regard sur la gare de Reims

Que vous soyez un usager régulier de la gare de Reims ou que vous veniez visiter – en train ou non – cette belle ville, ne passez pas à côté des merveilles de « La Magnifique » ! Hervé Chatriot, qui est lui-même cheminot en gare de Reims, a eu à cœur de faire découvrir au grand public par un ouvrage riche en archives et en images les secrets de l’épopée ferroviaire rémoise, de sa conception à ses continuelles métamorphoses. En attendant de vous plonger dans cet ouvrage passionnant, nous vous avons sélectionné sept anecdotes insolites parmi les nombreuses histoires qui entourent la gare de Reims !

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La gare de l'Est : sous les regards de l'Histoire

Découvrez l’histoire mouvementée d’un des plus beaux monuments de Paris, objet stratégique pendant les guerres, aujourd’hui porte ouverte sur la ville. Confiée à l’architecte François Duquesney en 1847, la gare fait parler d’elle pour son « excentricité » et son « mélange de styles » original dans le paysage néoclassique de l’époque. Transformée en moulin pendant la guerre de 1870, la gare de l’Est renaît à la Belle Epoque où elle est aussi bien accessible aux ouvriers et ouvrières qu’aux voyageurs de l’ « Orient Express ». Eprouvée par les deux guerres mondiales, agrandie en 1930, elle s’inscrit aujourd’hui au cœur d’un dense réseau de transports, ce qui ne l’empêche pas, avec la création d’un « balcon vert », de vouloir devenir la « gare la plus écologique » de Paris.

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La gare de l'Est

Découvrez le Poste 1 de Lyon Perrache, monument historique !

Le Poste d’aiguillage 1 de Lyon Perrache, témoin de l’évolution des techniques durant le 20ème siècle est un élément essentiel pour la préservation de la mémoire collective. Il est protégé au titre des monuments historiques depuis 2023.

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La gare de Metz : de l'impériale à la plus belle gare de France

Découvrez l’histoire de la gare de Metz, qui en 1850 n’était qu’une bâtisse de bois. Conçue comme un ensemble fonctionnel aux grands espaces lumineux destiné au voyage mais aussi aux transports militaires par son architecte berlinois Jürgen Kröger qui la réalise entre 1904 et 1908, elle est aussi une architecture dont le fastueux décor affirme à la demande de l’empereur Guillaume II lui-même l’autorité et la puissance de l’Empire allemand pendant l’annexion de l’Alsace-Moselle. Inspirée par les églises romanes et les châteaux forts qui dominent le Rhin, elle est ornée de vitraux dont le plus célèbre met en scène l’empereur Charlemagne redessiné par l’Art Nouveau. Réduite en cendre lors d’un incendie en 1872, elle a ensuite été reconstruite pour resplendir de nouveau. La gare de Metz est-elle la plus belle gare de France ? C’est l’avis des internautes depuis plusieurs années, puisqu’elle a obtenu le titre de « Plus belle gare en France » en 2017, 2018 et 2020.

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La gare de Strasbourg : de l'impériale à l'européenne

La ligne voyageurs Strasbourg – Paris est ouverte au public en juillet 1852 en présence du président Bonaparte, futur empereur Napoléon III. Un traité de fusion des deux compagnies rivales est signé le 18 décembre 1853, créant ainsi la Compagnie de l’Est. Le 10 mai 1871, le traité de Francfort « livre » les terres d’Alsace et une partie de la Lorraine à la domination allemande, et cela pour près d’un demi-siècle. La nouvelle gare centrale, dans un style néo-Renaissance teinté de néogothique pour les baies du hall départ, était alors le style dominant des bâtiments officiels de l’Empire allemand. Au cours du XXe siècle la gare devient peu à peu un point de passage obligatoire du trafic ferroviaire, jusqu’à devenir essentiel à l’heure de l’Europe.

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La gare de Colmar : « Le plus beau monument d’architecture allemande en Alsace »

La ville de Colmar, située sur la ligne transfrontalière Strasbourg – Bâle, une première en France, a été dotée d’une gare provisoire dès 1840, sous l’égide de la Compagnie privée de chemin de fer de Strasbourg à Bâle. Elle a ensuite connu une restructuration et une transformation sous l’Empire allemand, qui ajouta de nombreuses fioritures architecturales et décoratives tels que des vitraux historicistes, et des hauts et bas reliefs.

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@AlexisToureau

La gare de Reims : la magnifique

La gare de Reims est d’abord surnommée « l’embarcadère » à sa construction en 1854, du fait de sa position secondaire dans le réseau ferré du Grand Est : il faudra attendre 1858 pour que le projet de « la magnifique » voit le jour. Pensée par Félix Langlais, architecte de la Compagnie de chemin de fer des Ardennes, la gare longue de 105 mètres arbore un style néoclassique. Elle subira d’important dégâts au cours des deux guerres du 20e siècle mais sera reconstruite pour retrouver sa beauté d’origine.

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La gare de Mulhouse : l'avant-gardiste

Au XIXe siècle, Mulhouse est en plein essor industriel. La fonderie, bien sûr, mais aussi, le textile font la réputation de la ville aux 100 cheminées. Le transport des matières premières et des hommes est un enjeu majeur. Certes le transport fluvial, par la voie du canal du Rhône au Rhin, permet déjà les échanges commerciaux. Mais l’arrivée du train va littéralement tout révolutionner. Nicolas Koechlin, entrepreneur et homme politique va être à l’origine de la modernisation de la gare de Mulhouse. Il souhaite en faire une place forte des échanges de marchandises et de produits industriels en Alsace. Ainsi est inaugurée la gare de Mulhouse en 1839.

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La gare de Troyes : la flamboyante

En 1854, le projet de construction d’une ligne de chemin de fer Paris-Mulhouse (par Belfort), qui doit prolonger la ligne existante Montereau-Troyes, rend nécessaire un nouvel emplacement pour la gare de Troyes. En effet, le tracé de la voie ferroviaire et le terminus sont inadaptés pour le prolongement de la ligne. Inauguré au printemps 1858, le nouveau complexe comprend une gare de voyageurs avec ses annexes, d’une gare de marchandises ainsi que d’un dépôt de locomotives composé de deux rotondes et d’un atelier de réparation.

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Les secrets du tableau de Herter en gare de l'Est

Levez les yeux ! En gare de l’Est, ce tableau monumental peint par Albert Herter nous fait voyager au début de la Première Guerre mondiale.

Alors connaissez-vous ce tableau ? Mais surtout…connaissez-vous son histoire ?

Découvrez l'histoire du tableau
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Focus sur 11 gares franciliennes

Belle Époque, années 30, Art Déco, Mouvement moderne,
Néo-classicisme… À l’occasion des Journées Européennes du Patrimoine 2022, AREP vous a conçu un parcours entre les architectures ferroviaires franciliennes (ligne N et RER C) guidé par le thème du patrimoine durable.

Cette invitation à découvrir «le parti pris» des gares d’Île-de-France est mise à disposition des curieux, des amateurs et des passionnés qui souhaitent aiguiser un regard nouveau sur ces incontournables du patrimoine ferroviaire, piliers de l’architecture du quotidien.

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La gare écodurable de Nîmes Pont du Gard

Découvrez la gare écodurable de Nîmes Pont du Gard à travers deux vidéos inédites :  

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Nevers, Patrimoine ferroviaire

Découvrez la gare, le dépôt et le technicentre industriel Nevers-Languedoc ! Rames historiques, locomotive à vapeur, navettes en autorail historiques : retour en images sur leur ouverture au public à l’occasion des Journées européennes du patrimoine 2021.

Valorisation du patrimoine et enjeux contemporains : quels leviers d'actions pour les gares d'île de France ?

Patrimoine de proximité ouvert à tous, patrimoine du quotidien, les gares sont l’une des richesses historiques les plus accessibles. La label “Patrimoine d’intérêt régional” accordé par la Région Ile-de-France à 21 gares reconnaît la valeur historique et patrimoniale de ces ouvrages.
Comment les gares historiques intègrent-elles les enjeux contemporains du transport des franciliens ? La valorisation patrimoniale constitue-t-elle un frein ou au contraire une opportunité pour la mise en œuvre de solutions écologiques d’aménagement ?

Découvrez ou re-découvrez le séminaire "Hittorf et la Gare du Nord"

Rails & histoire, l’association pour l’histoire des chemins de fer et le CILAC, Comité d’information et de liaison pour l’archéologie, l’étude et la mise en valeur du patrimoine industriel, ont organisé cette journée d’études internationale en ligne le jeudi 27 mai 2021, entre 10 h et 17 h 30.

Cette journée d’échanges a été consacrée à l’architecte Jacques-Ignace Hittorff et à sa conception de la gare du Nord à Paris au début des années 1860. Ce sujet vient sur le devant de la scène en raison des projets actuels de transformation de la gare à l’horizon 2024. La journée d’études a ainsi pu mener à des échanges de nature scientifique pour mieux identifier les valeurs historiques et architecturales de la gare.

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Poste d’aiguillage de Rennes

Le poste central de Rennes date de 1941 et est le dernier de son type en France. Il figure dans le programme « postes d’aiguillage remarquables » mené par SNCF Réseau avec Rails & Histoire et a été inscrit au titre des monuments historiques en 2020. Le Musée de Bretagne vous propose de découvrir le poste et ses agents dans son film L’Ouverture du signal.

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Le poste d’aiguillage de Lyon Perrache (ligne PLM)

Le poste 1 de Lyon Perrache figure dans le programme « postes d’aiguillage remarquables » mené par SNCF Réseau avec Rails & Histoire. Témoin de l’architecture des années 1930, achevé en 1934 et modernisé en 1952, le poste 1 a organisé la circulation des trains jusqu’en 2017. Il s’agit d’un poste à leviers d’itinéraire de type Thomson-Houston. Il a été inscrit au titre des monuments historiques en 2023.

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Centre de Maintenance TER de Marseille Pautrier

Le projet de modernisation, financé à 90% par la région SUD, du centre de remisage, nettoyage et maintenance pour TER de Pautrier a permis d’accompagner le développement ambitieux des trains régionaux au 21e siècle, tout en conservant une remise circulaire, bâtiment remarquable du patrimoine industriel métallique de la fin du 19e siècle.

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Les lignes normandes d’hier à aujourd’hui

Ce film, réalisé à partir des archives de la médiathèque du Service Archives et Documentation SNCF (SARDO), relate l’histoire des lignes normandes et la création de la gare Saint-Lazare. Il nous fait remonter le temps à l’époque des premiers trains vapeur, nous plonge dans l’effervescence de la gare Saint-Lazare à travers les âges et illustre la reconstruction après-guerre du réseau normand. Des images riches et passionnantes, en noir et blanc et en couleurs, à voir et à revoir.

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Les grandes halles voyageurs, levez les yeux !

Vous êtes invité(e) à lever les yeux pour entrer dans l’histoire de vos gares au travers de la découverte de leurs grandes halles métalliques. Construites à partir du milieu du XIXe siècle, ce que nous appelons aujourd’hui les « grandes halles voyageurs » apparaissent comme un des emblèmes de la première révolution industrielle et du développement du réseau de chemin de fer en France avec leur structure en métal et leur couverture de verre. Ces prouesses techniques continuent de vous accueillir et de vous protéger du mauvais temps !

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Gare de Limoges

La gare de Limoges est un emblème de la gare française par excellence, par sa taille, l’éclectisme de son style, son immense tour, mais aussi la conception industrielle de ses structures en béton au-dessus des voies qui, tous ensemble, affirment le triomphe du chemin de fer. Envisagée dès 1908, pensée avant la Grande Guerre, elle est édifiée dans les années 1920 et inaugurée en 1929. C’est aussi une galerie des arts décoratifs du début du XXe siècle qui célèbrent la capitale des « arts du feu » : entre les statues qui personnifient l’émail et la porcelaine, le grand arc en béton permet de déployer en façade une immense verrière dessinée par le maître-verrier Francis Chigot, originaire de Limoges.

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Gare des Invalides

La gare des Invalides a été construite pour les visiteurs de l’Exposition universelle de 1900. La Compagnie de l’Ouest la confie à Juste Lisch, son architecte qui est déjà l’auteur de la gare du Champ-de-Mars (1878) et surtout de la nouvelle gare Saint-Lazare (1889). Pour inscrire la gare dans le paysage, en face de l’Hôtel des Invalides construit dans les années 1670 sur les plans de Bruant et Mansart à la demande de Louis XIV, Lisch renonce à un premier projet monumental. il choisit de s’inspirer de l’orangerie du château de Versailles, dessinée elle aussi par Jules Hardouin-Mansart.

Le bâtiment est devenu l’aérogare des Invalides en 1949 tandis que la gare, souterraine, a été incluse dans la ligne C du RER en 1979 : sa récente restauration par SNCF et AREP magnifie les superbes colonnes corinthiennes Art Nouveau qui soutiennent la structure métallique, synthèse des XVIIe, XIXe et XXIe siècles.

Gare de Lens

Le territoire desservi par la Compagnie du Nord est reconstruit après la Première Guerre mondiale, au service de l’industrie du charbon qui domine le Nord et le Pas-de-Calais. La gare de Lens est un repère dans le bassin minier, où, par sa forme de locomotive en béton posée sur le plat pays et par l’œuvre de l’artiste décorateur Auguste Labouret, auteur des mosaïques intérieures, elle célèbre à la fois les mineurs et les cheminots. Inaugurée en 1927, elle affirme aussi les principes des Arts décoratifs dont elle est un manifeste. Son architecte Urbain Cassan est ingénieur polytechnicien : il a réalisé un dispositif qui permet au bâtiment de s’adapter aux mouvements du terrain affecté par les mines et qui ajoute à son caractère unique. Une dizaine d’années plus tard, il suit son commanditaire l’ingénieur Raoul Dautry sur le réseau de l’Ouest où il construit des gares toujours inspirées par des formes géométriques élémentaires.

Image : Gare de Lens, les mosaïques d’Augustin Labouret © Claude Le Breton/AREP

Gare de Tours

C’est à l’architecte Victor Laloux, né en 1850 à Tours et alors au faîte de sa gloire, qu’a été demandée la construction, de 1896 à 1898, de la gare monumentale qui doit réunir les gares précédentes de la Compagnie du Paris-Orléans et des Chemins de fer de l’État. Comme à la gare d’Orsay (autre gare du Paris-Orléans, contemporaine) Laloux a combiné le fer, la fonte et la pierre, l’industrie triomphante et la sculpture monumentale, avec en façade la personnification des villes de Limoges et Toulouse, de Bordeaux et de Nantes. Mais c’est à Eugène-Martial Simas que l’on doit la touche décorative : 18 tableaux de 1,20 mètre de large sur 2,10 mètres de haut, en carreaux de céramique peinte et émaillée qui, à l’intérieur de la gare, illustrent en couleurs avec délicatesse les différentes destinations, comme des affiches perpétuelles.

Image : Gare de Tours © SNCF/Lionel Boulanger

Gare de Paris-Nord

Les grandes gares de Paris sont les têtes des réseaux des anciennes compagnies dont elles sont aussi le siège. Avec la gare du Nord s’affirme toute la puissance industrielle et financière de la Compagnie du Nord. Sa façade en forme d’arc de triomphe, dessinée par Jacques-Ignace Hittorff à partir de 1861, établit la tradition des statues de femmes qui personnifient les principales villes destinations du réseau, avec Londres, Berlin, Francfort, Varsovie, Amsterdam, Vienne, Bruxelles, mais aussi les villes françaises et, au sommet, Paris. La gare est une porte vers l’ailleurs et une galerie de l’art de son temps ; 13 sculpteurs furent appelés à créer son décor. La halle aux colonnes de fonte portant la marque d’une fonderie écossaise est le deuxième héritages de ce 19e siècle. La gare est aujourd’hui un complexe qui assure le transport de plus de 292 millions de voyageurs par an sur les réseaux métropolitains, régionaux, nationaux et internationaux, avec Thalys et Eurostar, vers la Belgique, les Pays-Bas, l’Allemagne et le Royaume-Uni.

Image : Gare de Paris Nord © David Paquin

Gare de Marseille Saint-Charles

Véritable pont entre le patrimoine historique et la modernité, la gare de Marseille Saint-Charles a connu de nombreuses évolutions et transformations depuis sa construction.

En partenariat avec l’Office Métropolitain de Tourisme et des Congrès de Marseille.

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